0/100F
400Sang-Mêlé27164AnglaisPoudlardLoup-GarouPauvreProfesseur d'étude des créaturesNeutreC'est compliquéJoker
Alibaba
SycomoreÉpine de monstre du Fleuve BlancÉpaisseMoyenneTrès rigide
There’s no big bad wolfCave InimicumEverte StatumFianto DuriFinite IncantatemNebulusObscuroPrio IncantatumProtego MaximaSilencioSpero PatronumpotionpotionpotionCarte de la LuneMontre à goussetAucun
EspritConnaître les créatures magiques sur le bout des doigts permet d'éviter les incidents de parcours, une personne averti en vaut deux.
EspritSavoir organiser ses pensées, ses cours afin de vous garantir une meilleure note lors des examens écrits.(option en dessous)
8Astronomie
11Botanique
12Défense contre les forces du mal
16Études des créatures
8Éducation sorcière
6Histoire de la magie
6Métamorphose
12Potions
14Sortilèges
4Vol - Quiddditch
10Duel
12Soins aux créatures magiques0/100F400Sang-Mêlé27164AnglaisPoudlardLoup-GarouPauvreProfesseur d'étude des créaturesNeutreC'est compliquéJokerAlibabaSycomoreÉpine de monstre du Fleuve BlancÉpaisseMoyenneTrès rigideThere’s no big bad wolfCave InimicumEverte StatumFianto DuriFinite IncantatemNebulusObscuroPrio IncantatumProtego MaximaSilencioSpero PatronumpotionpotionpotionCarte de la LuneMontre à goussetAucunEspritConnaître les créatures magiques sur le bout des doigts permet d'éviter les incidents de parcours, une personne averti en vaut deux.EspritSavoir organiser ses pensées, ses cours afin de vous garantir une meilleure note lors des examens écrits.(option en dessous)8Astronomie11Botanique12Défense contre les forces du mal16Études des créatures8Éducation sorcière6Histoire de la magie6Métamorphose12Potions14Sortilèges4Vol - Quiddditch10Duel12Soins aux créatures magiquesHigh NoonTchou-Tchou
H
Il inspire longuement, le menton posé dans la paume de sa main et son coude sur le bord de la fenêtre. Le paysage défile alors que les jeunes discutent, se présentent. Lui se contente de feuilleter les pages de son bouquins, fixer la fenêtre et se détacher peu à peu de la conversation.
- Vous êtes professeur de quoi ? demande alors l’un des gamins. Alistaire tourne de nouveau les yeux vers lui - regard fatigué. Hm, attendez-attendez, laissez-moi deviner… Astronomie ? Peut-être Histoire de la Magie ? Ça pourrait expliquer la carte lunaire de la semaine dernière.
- Un indice, répond-il en lui présentant la couverture du livre qu’il lit.
L’ouvrage référentiel de la quatrième année d’étude des créatures : Des créatures les plus inoffensives aux plus dangereuses. Et quant à la suite de son interrogation, il ne prend pas la peine de réagir non plus - il est malade, oui ; mais il n’irait pas en parler. Principalement parce qu’il n’apprécie pas. Il avale néanmoins sa salive, mal à l’aise au possible.
Encore plus à l’arrivée du blond.
Puis des deux jeunes.
Il soupire, l’estomac noué après être retourné s’asseoir. La porte fermée, il attend le calme et la quiétude tandis que le malaise se répand lentement dans le compartiment. La porte s’ouvre de nouveau : un contrôleur cette fois-ci. Alistaire laisse couler, en fixant le blond - décidément, il n’arrive pas à se souvenir de l’endroit où il l’a vu ; mais les mots qu’il a prononcés plus tôt laisse entendre que lui s’en souvient parfaitement.
Le compartiment finit par se vider petit à petit.
- Pardon vous m’excusez, mais je dois aller… voir quelqu’un.
Hippolyte s’en va - soulagement, il est vrai.
- Donc euh... Ça va ? questionne le second. Première fois sur un train ? Moi si…
- Non, se contente-t-il de répondre.
Le malaise est palpable. Et Alistaire n’est pas vraiment d’humeur à discuter, il est vrai. Il n’a jamais vraiment été d’humeur ; mais il l’est d’autant moins depuis l’intervention de gamins plus tôt. Rigel s’en va à son tour, avec une excuse plus que douteuse. Une perruche - qui jusque là était enfermée en cage - décide de partir à son tour. Son propriétaire, tout aussi silencieux qu’Alistaire, prend congé à également.
Le voilà seul dans la cabine.
Il inspire, en retournant les yeux dans son livre qu’il connaît déjà par cœur. Il savoure non sans une pointe de honte le silence et la quiétude retrouvée. Le malaise pèse toujours dans le compartiment, ainsi que dans le fond de son estomac. Les minutes passent, le malaise s’intensifie peu à peu, si bien qu’il se décide à contre-coeur à détourner le regard de son ouvrage.
Rapidement, et malgré ses yeux rivés sur l’extérieur, son malaise se transforme en mal des transports, en vertige douloureusement persistant dans le fond de ses tripes. Combien de temps maintenant, depuis qu’ils sont partis de la gare ?
Il n’a jamais été très à l’aise dans le train.
Même lorsqu’il était jeune.
Il se lève, les jambes et les mains légèrement tremblantes ; l’esprit difficilement présent dans son corps. Malade, disait le blond plus tôt. Le terme est on ne peut plus exact, songe-t-il alors que ses doigts cherchent et trouvent la porte de son compartiment.
Résumé : Alistaire dit littéralement trois mots dans cette réponse, et son attitude ne change pas énormément de plus tôt : il reste à regarder soit la fenêtre, soit son livre et essaye de faire fi de tout ce qu'on balance à son encontre. Alors que tout le monde se barre petit à petit de la cabine, il savoure un court instant d'être seul dans le silence ; sauf que le mal de transport arrive
Du coup, il se lève et quitte la cabine à son tour, donc pour le moment, le compartiment est vide ; mais comme ses affaires sont restées là, il va très sûrement y revenir sous peu.
- Vous êtes professeur de quoi ? demande alors l’un des gamins. Alistaire tourne de nouveau les yeux vers lui - regard fatigué. Hm, attendez-attendez, laissez-moi deviner… Astronomie ? Peut-être Histoire de la Magie ? Ça pourrait expliquer la carte lunaire de la semaine dernière.
- Un indice, répond-il en lui présentant la couverture du livre qu’il lit.
L’ouvrage référentiel de la quatrième année d’étude des créatures : Des créatures les plus inoffensives aux plus dangereuses. Et quant à la suite de son interrogation, il ne prend pas la peine de réagir non plus - il est malade, oui ; mais il n’irait pas en parler. Principalement parce qu’il n’apprécie pas. Il avale néanmoins sa salive, mal à l’aise au possible.
Encore plus à l’arrivée du blond.
Puis des deux jeunes.
Il soupire, l’estomac noué après être retourné s’asseoir. La porte fermée, il attend le calme et la quiétude tandis que le malaise se répand lentement dans le compartiment. La porte s’ouvre de nouveau : un contrôleur cette fois-ci. Alistaire laisse couler, en fixant le blond - décidément, il n’arrive pas à se souvenir de l’endroit où il l’a vu ; mais les mots qu’il a prononcés plus tôt laisse entendre que lui s’en souvient parfaitement.
Le compartiment finit par se vider petit à petit.
- Pardon vous m’excusez, mais je dois aller… voir quelqu’un.
Hippolyte s’en va - soulagement, il est vrai.
- Donc euh... Ça va ? questionne le second. Première fois sur un train ? Moi si…
- Non, se contente-t-il de répondre.
Le malaise est palpable. Et Alistaire n’est pas vraiment d’humeur à discuter, il est vrai. Il n’a jamais vraiment été d’humeur ; mais il l’est d’autant moins depuis l’intervention de gamins plus tôt. Rigel s’en va à son tour, avec une excuse plus que douteuse. Une perruche - qui jusque là était enfermée en cage - décide de partir à son tour. Son propriétaire, tout aussi silencieux qu’Alistaire, prend congé à également.
Le voilà seul dans la cabine.
Il inspire, en retournant les yeux dans son livre qu’il connaît déjà par cœur. Il savoure non sans une pointe de honte le silence et la quiétude retrouvée. Le malaise pèse toujours dans le compartiment, ainsi que dans le fond de son estomac. Les minutes passent, le malaise s’intensifie peu à peu, si bien qu’il se décide à contre-coeur à détourner le regard de son ouvrage.
Rapidement, et malgré ses yeux rivés sur l’extérieur, son malaise se transforme en mal des transports, en vertige douloureusement persistant dans le fond de ses tripes. Combien de temps maintenant, depuis qu’ils sont partis de la gare ?
Il n’a jamais été très à l’aise dans le train.
Même lorsqu’il était jeune.
Il se lève, les jambes et les mains légèrement tremblantes ; l’esprit difficilement présent dans son corps. Malade, disait le blond plus tôt. Le terme est on ne peut plus exact, songe-t-il alors que ses doigts cherchent et trouvent la porte de son compartiment.
Résumé : Alistaire dit littéralement trois mots dans cette réponse, et son attitude ne change pas énormément de plus tôt : il reste à regarder soit la fenêtre, soit son livre et essaye de faire fi de tout ce qu'on balance à son encontre. Alors que tout le monde se barre petit à petit de la cabine, il savoure un court instant d'être seul dans le silence ; sauf que le mal de transport arrive
Du coup, il se lève et quitte la cabine à son tour, donc pour le moment, le compartiment est vide ; mais comme ses affaires sont restées là, il va très sûrement y revenir sous peu.
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If what you've done is stupid but it works, then it really isn't that stupid at all. AccioArresto MomentumBombardaEmancipareExpulsoLumosPetrificus Totalus Rictusempra potionpotionpotionAtlas des anomalies célestesLe livre des sorts et enchantementsLes potions magiques avancées Numerologie et grammaire Se confronter aux sans visagesPeggy, une perruche 
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